une ombre sous la pluie

un ombre entourer d'une aura noire arriva dans la vallée des dragon, les seul dragon qui volait a present etait ceux appartenant a isao
il etait quatre tout les quatre la peau noire comme l'ebene, parmit eux se trouvait les deux petit posait sur l'epaules de isao lors de la conversation avec la directrice, les deux autres etait deux dragon adulte ayant passez l'age de la maturiter depuis des siecle;
l'homme qui marchait au sol semblait ce dirigeait vers la maisonet qui servait de couveuse au oeuf de dragon.

La douce gérante contemplait la fenêtre d'un regard rêveur. C'était une superbe soirée, sans lune, ce qui permettait aux étoiles les plus timides de briller à leur aise. Une ombre énorme passa devant les constellations, qui attira son regard. Un Dragon, voler à cette heure? Elle se leva à demi et scruta la vallée, les yeux plissés. Une ombre de forme humaine approchait.

*Ca ne me dit rien qui vaille.*

Elle attrapa le combiné de la couveuse, et pianota sur le clavier le numéro de la directrice à toute vitesse.

La porte se trouva detruit est envoyer a l'autre bout de la couveuse, l'homme qui venait d'entrer regarda avec insistance la dame de la couveuse.
bonsoir madame desoler de vous importunez a une heure aussi tardive mais je vient detruire votre etablisement, ne vous mettez pas en travers de mon chemin ou vous subirai le meme sort
ces yeux redevinrent rouge sang est isao fit aparaitre un sabre noir dans sa main

Nyd débarqua dans la couveuse au même instant qu'Isao. Elle fut soulagée de n'avoir rien, et dégaina son sabre argenté, qu'elle porta devant elle. Elle se plaça entre la gardienne des oeufs et lui pour protéger la jeune femme encore fragile. Il ne s'était presque rien passé, pourtant la pauvre tremblotait de peur et de panique.

"Elle ne s'opposera pas à toi, puisque tu ne dértuiras rien, ni aujourd'hui, ni jamais. Je te laisse la chance de partir maintenant. Sinon, il faudra me passer dessus, je t'avais prévenu."

Elle se força à respirer lentement. Se battre était, déjà, une première depuis trop longtemps, de trop longues années. Se battre certes. Mais pas contre... lui. Elle sentait la présence de Sh'Ören dans son esprit qui tentait de la réconforter. Pour sa sécurité, elle lui avait interdit de venir; il s'était résigné, et attendrait que les choses se gâtent.

Sans bouger, elle s'adressa à la gérante mentalement:

*Allez vous-en maintenant, et emportez avec vous un maximum d'oeufs. Dépêchez-vous.*

La gérante hocha silencieusement la tête, puis se dirigea vers la couveuse, endroit fermé mais superficiellement protégé. A l'aide de grandes boîtes fourrées de mousse, elle emmena près d'une cinquantaine d'oeufs avec elle, dans les épaisses ténèbres de la nuit. Il en restait une bonne quinzaine surplace que Nyd devrait protéger coûte que coûte.

encore un fois tu te retrouve en face de moi un sabre a la main,
un sourire se lisait sur ces levres
autrefois tu etait bien plus forte, tu ne laissais pas echaper tes sentiment pour quelqun ou quelque chose interferer dans ta mission.
isao se mit en gardes
ne tinquiete pas ta cher amie la gerante ne mourra pas de ma main mais de celle de mes dragon rodant dehors.
isao la regarda puis dans un mouvement de revers avec un vitesse exeptionelle attaque Nyd au niveau de la tetes.
je te le repette ma belle ne t'opose pas a moi .

Nyd, qui avait distraitement écouté les paroles d'Isao, avait profité du petit discours pour se concentrer, et mettre ses sentiments douloureux de côté. Il avait certes attaqué avec énormément de rapidité, pourtant elle para facilement, les vieux gestes lui revenant en mémoire à une vitesse fulgurante. Elle lui répondit avec flegme:

"Ne compte pas sur mes sentiments pour me vaincre. L'homme que j'ai aimé est mort depuis des années, et son deuil est fait depuis longtemps."

Sur ce, elle lui envoya un coup de pied parfaitement maîtrisé dans le ventre, sans pour autant baisser sa garde. Elle retrouvait peu à peu la maîtrise du combat au corps à corps: ses muscles endormis se réveillaient rapidement, les réflexes autrefois inconscients redevinrent presque naturels. Isao aurait moins de chance que la dernière fois qu'ils s'étaient battus.

"D'ailleurs, ne crois pas que mes sentiments sont ma faiblesse. Et je compte m'opposer à toi tant que tu voudras faire du mal à ceux que je compte protéger. Si pour cela il faut que je te tue, je le ferais."

Elle lui lança un sort muet, et une fore invisible enserra sa gorge.

*Toujours les mêmes techniques, à ce que je vois.*
*Laisse-moi tranquille, c'est assez compliqué comme ça.*

Elle espéra de toutes ses forces que la gérante avait été plus rapide que les Dragons à l'extérieur. Elle était loin d'être idiote, mais les situations dangereuses ne l'aidaient pas à garder son sang-froid. Elle retrouvait cette froideur qui lui permettait de garder la tête froide; plongée dans l'instant présent, sans prendre le temps de réfléchir, elle laissait aller le combat sans essayer de prévoir ou de deviner. Pour l'instant, elle parait toutes ses attaques avec facilité.

Isao se prit le coup de pied mais ne bougea pas d'une semelle, restant droit, un rictus aux lèvres comme pendant tout ces combats.
Il regarda Nyd est annonca:
Toujours aussi peu forte a ce que je voit!
Isao tomba sourdement a terre en se tenant la gorge, un sourire au lèvres, sa gorge devenant de plus en plus atrophiée.

Nyd contempla le corps d'Isao avec dédain, un regard cruel dans les yeux. Ce n'était pas son genre de tomber si facilement, pas du tout. Sil il croyait qu'elle s'apitoierait sur son sort, elle s'approcha doucement de lui, et lui assena un violent coup de pied dans le ventre, de toutes ses forces. Sans pitié, ne laissant paraître aucun des sentiments qui mettaient son coeur à rude épreuve, elle plaça son sabre sur la gorge du meurtrier, et appuya juste assez fort pour faire couler quelques gouttes de sang. Elle cracha:

"Je te déteste."

Elle fit un énorme effort pour se convaincre qu'elle ne pensait pas exactement le contraire.

Isao se mit à cracher du sang sur les habits de Nyd, des larmes perlant sur ses yeux redevenus noir.
Une fois le katana sur la joue isao semblait tremblait de peur ce qui eut pour effet de faire bouger la lame sur son cou de plus en plus meurtri par le sang de ça coupure beante.
Il reste muet suites a cet acte.

Nyd resta parfaitement immobile. Un geste, et elle mettait fin à tout son malheur, au danger. Un geste; il lui suffisait d'appuyer un grand coup sur son katana. La seule pensée entraîna une pression plus forte. Elle ferma les yeux, et de grosses larmes coulèrent sur ses joues, en abondance. Son visage était crispé, on le voyait torturé, pourtant elle ne bougea pas.

*Pourquoi?*

Isao regarda Nyd des larmes plein les yeux puis il annonca! Acheve moi, acheve donc l'homme plein de faiblesse qui est devant toi, acheve le!
Isao avait lachez son katana depuis longtemp il regardai a present la lame situez au niveau de son cou le sang degoulinant encore de ca bouche.
Pourquoi tu ne me tue pas!

Nyd pleurait à chaudes larmes, comme l'enfant qu'elle était autrefois. Elle le haïssait pour être revenue, l'avoir laissée sans nouvelle, lui avoir laissé le goût amer de la désillusion dans la bouche, elle le haïssait pour lui avoir rendu l'espoir, une raison de vivre, elle exécrait cet homme qu'elle maintenait sous sa lame, le méprisait d'avoir semé tant de sentiments dans son coeur. La voix brisée, elle articula non sans mal:

"Je ne peux pas..."

Ses mains tremblaient de plus en plus. Elle le savait, le coup fatal ne viendrait pas. Pas encore. Trop de souvenirs la hantaient enore, de nouveau. Ses faiblesses revennaient peu à peu, elle en était consciente, mais la pression qui pesait sur elle depuis quelques heures était trop forte.

Isao ecouta Nyd est la voyait pensive est tremblantes ces yeux passerent rouge soudainement, isao tremblat legerement, puis il vue les larmes de Nyd ces yeux paserent soudement au noir est il se balanca en avant comme pour s'empechez de faire quelque chose il se jettat sur la lame dont le trachant etait offert a lui.
Suite a ce geste tomba a terre le corp baignant dans son sang un sourire toujour ancrer sur ces levres

Nyd, en larmes, avait compris que le jeu des personnalités avait joué. C'était bien... l'amour de sa vie qui s'était jeté sous sa lame. Elle jeta au loin son katana, et tomba sur Isao. Paniquée, elle posa ses mains sur sa gorge et la plaie se referma. C'était une blessure profonde, et elle utilisa beaucoup d'énergie pour soigner complètement l'homme qui gisait sous elle. Elle passa quelques minutes à se calmer, essuya ses larmes, et contempla Isao de ses yeux tristes.

Isao était à terre, évanoui; il ne réagit même pas aux soins de Nyd. Il resta de longues minutes à terre, comme ceci, sous le regard de Nyd. Tout à coup Isao se releva, les yeux portés vers le sol; il se retourna, passa par la porte qu'il avait détruite précédemment puis disparu dans l'obscurité. Après son départ une vire se brisa, deux petits dragons entrèrent, portant à deux un corps humain. Ils le déposèrent aux pieds de Nyd, qui put aperçevoir le visage de la gérante. Son corps était mutilé de part en part de blessures profondes, visibles à des endroits de son corps qui n'étaient pas vitaux, comme si le bourreau n'avait voulu que la torturer. On pouvait aperçevoir sur son crâne des cheveux complètement rasés et deux marques de griffures perpendiculairement posées sur son cuir chevelu. On pouvait voir cette martyr respirer encore. Après avoir effectué leur besogne, les deux dragons sortirent de la pièce rapidement.

La directrice tomba à genoux devant le corps inerte de la gérante. Elle tremblait de tous ses membres, sous le choc, puis prit le corps dans ses bras, le souleva avec difficulté, épuisée. Les oeufs étaient perdus, pas un suel n'avait été rendu par les dragons à la solde d'Isao. La gérante dans ses bras, immobile sur le seuil de la porte, et contempla la silhouette d'Isao disparaître dans la nuit. Quand le reverrait-elle? Elle n'en avait aucune idée. D'ailleurs, cela ne l'importait plus. Elle emmena la pauvre torturée rapidement, avant que le poison contenu dans les griffes des dragons noirs ne fasse son effet. Son pas était chancellant, mal assuré; l'épuisement du corps et de l'âme se faisaient sentir de plus en plus. Elle finit par arriver au Rez-de-chaussée.

la suite pour moi est ici!

» une ombre.
» Sous le signe du Belier.
» balades sous la pleine lune