Erance.

un homme au pas lourd poussa soudenement la porte de la blibliotheque avec un air abatue , il inspecta les lieux judicieusement et avanca.
a la vue de quelque sofa des flash de son passez torture son esprit
" laine que fait tu, laine ....."
il avance encore un peu et regarda un mur fraichement refait, a nouveau des flash le fraperent
" un demon , nyd ... , qui est ce demon?
Esce moi?
Pourquoi cette haine?
Pourquoi cette douleur? "
isao tomba a terre pris de violente convultion.

Le bibliothécaire, sans trop oser s'approcher, avait appelé la directrice: un inconnu faisait un malaise pour le moins étrange. La jeune femme avait donc accouru, sans même prendre le temps de se remémorer la formule de télértansportation; Nyd avait couru, gravit les escaliers, comme si la force oubliée d'un vieil instinct avait dérangé ses sens.
Un arrêt de surprise stoppa définitivement sa course folle, lorsque Nyd reconnut les traits... d'Isao. Lui, encore... Il n'avait donc pas disparu pour de bon. Elle s'agenouilla près de son corps tremblant, et le serra, plus ou moins à contre-coeur, contre elle. A force de le contraindre à l'immibilité, les spasmes avaient cessé, et Drakan le reposa au sol. Retrouvant ses esprits, elle matérialisa un verre d'eau dans sa main, et, sans autre forme de procès, le lui versa à la figure.

"Ça va, tu retrouves tes sens?"

isao le regard troubler regarda le visage de Nyd et cessa toute action, puis il annonca ces mots.
Escusez moi !
ces yeux noir noyer dans ceux de Nyd il resta silencieux

"Ça va aller?"

Elle l'observa longuement. Ce regard...
Finalement, le présent rattrapa la directrice; Isao était là, devant elle, tout de même. Elle lui lanca d'un ton plutôt ferme:

"Qu'est-ce que tu fais là?"

Nyd tendit une main vers sa chevelure pour la caresser, comme elle le faisait autrefois, puis se ravisa. Etonnée par ce réflexe, elle fronça légèrement les sourcils et détourna le regard, rougissante.

je vient essayer de purger la peine... isao ce releva , Nyd put appercevoir qu'il ne portait aucune armes , ces cheveux avait beaucoup poussez il atteignez a present le bas de son dos, ces yeux noir etait cernes certainement due a de trop peu nombreuse heures de sommeil, ces habits ensenglantee etait en haillon comme ci il avait passez des mois dans la nature la providence a voulut que je vienne en quetes de pardon. isao s'agenouillat en regardant Nyd .
je sui pres a tout meme a mettre ma vie en jeu.

Nyd était pour le moins perdue. Le pardon? La première chose qu'elle fit fut de l'empoigner par l'épaule et de le relever prestement, une expression dure sur le visage.

"Je n'ai rien à pardonner... Tu es parti, que pouvais-je faire? Tenter de te rattraper? Je ne t'ai même pas entendu de glisser dans les ténèbres, cette nuit-là..."

La directrice se souvenait encore. Cette nuit durant laquelle il avait disparu, sans qu'elle ne puisse rien faire. Depuis toujours, elle avait été rongée par le remords; elle avait cru dormir dans ses bras, cette fois... Des souevnirs revinrent en masse, trop vite, sans doute. Peu à peu, son masque de froideur s'effrita pour laisser place à un visage contracté... Ses yeux s'emplirent peu à peu de larmes, puis Nyd détourna à nouveau le regard, et soupira.

*Tu vas quand même pas pleurer dans ses bras... il t'a abandonnée et tu n'es même pas capable de lui en vouloir..*
*Laisse-moi tranquille...*

je ne pourrai jammais me pardonner ce que j'ai fait , demande moi ce que tu veut je suis pres a tout je suis trop betes .
les larmes coulerent de ces yeux.
un coeur reste un coeur
annoncat il avant de baissai les yeux

"Je..."

Nyd tendit deux doigts vers la joue d'Isao et essuya ses larmes avec une douceur infinie. Elle ne pouvait pas non plus retenir les siennes, qui coulèrent le long de son visage et de son cou, mais elle n'y prêta pas attention. Sans trop y réfléchir, elle posa une main sur la poitrine d'Isao et murmura d'une voix faible:

"Oui... un cœur reste un cœur... tant qu'il bat..."