Mon livre

Bon même si ça sert presqu'à rien, je vais quand-même poster ce que j'écris pour mon livre.

Il sagit d'une introduction du début et j'ai coupé exprès à une certaine partie pour qu'ensuite, si ça plaît, j'en montre plus. Je tiens à dire que c'est le premier jet et qu'il est très imparfait côté syntaxe donc j'éspère qu'au moins vous comprendez l'histoire. Sinon pour les questions n'hésitez pas.
Bonne lecture et n'hésitez pas pour la critique, c'est le meilleur moyen d'avancer (mis à part les fautes d'orthographe)....

Au commencement, il y a le Créateur. Il est l’origine du notre monde, le pourquoi du comment, l’infini de l’espace et le père de tous.

Il est un lieu dont aucun écrit ne parle, dont aucune histoire ne compte les aventures. Atlantide a su rester éveillé dans le cœur des gens par le biais de la mythologie, mais même cette science approximative de l’histoire n’a eu connaissance de ce temps. Le Créateur créa la terre, ses créatures, ses peuplements, les choses qui l’entourent et enfin les hommes. Il apporta tout son savoir faire et toutes ses passions à ce monde. Ses premiers enfants ne furent pas les humains comme on le dit mais les « Êtres », dont l’imagination égalait presque la sienne. Aux hommes il avait donné son apparence, aux Êtres il donna sa créativité et la première chose qu’ils inventèrent fut Scisaa. C’est ainsi qu’ils appelèrent leur père.

Tous l’aidèrent à aboutir la construction de la terre et de ses populations (hommes, plante, animaux….). Mais avant le commencement des jours qui virent la terre se bâtir, les premiers enfants du Créateur lui présentèrent Atya : le septième continent. Pendant qu’ils avaient apporté leur aide à leur père, du même désir que Scisaa souhaitait le monde, les Êtres souhaitèrent leur monde. Ce désir était né en chacun d’entre eux, plus profond que celui du père. Mais le Créateur refusa le fruit de leur imagination comme l’on rejette une chose prématurée. Il savait que ce continent n’était que le produit d’une jeunesse encore fébrile et rien n’aurait été plus désastreux que d’aboutir à leurs pensées. Se révoltant les Êtres lui rappelèrent que sans leur aide, les plans de la terre n’auraient jamais été achevés, et n’aurais jamais été aussi beau. Ils lui rappelèrent aussi que leur imagination était la sienne et que par conséquent les plans d’Atya en étaient la source. Le Créateur céda mais dicta une condition.

« En vous donnant mon imagination, je vous ai doté d’une chose que j’ignorait encore, le désir de voir fleurir à tout prix une oeuvre. Il est vrai qu’autrefois ces plans furent mien mais c’est à vous qu’ils se sont exaucés. Chacun exprimera son envie, ses peurs, ses doutes, ses passions et ses secrets. A l’aube du premier jour, vous placerez les piliers du continent Atyaéen prêt de ma terre (l’Eurasie). Pendant les jours qui suivront la création du monde, chacun plantera la graine de son imagination. Mais quand vos désirs ce seront libérés, quand votre terre ce sera réveillé et quand vos enfants naîtront, alors il vous sera impossible d’intervenir »…

Les Êtres l’écoutèrent sans grande attention, impatients de planter leurs graines pour assouvir leur bonheur. Ce que Scisaa accepta, arriva. Le dernier jour, la terre et ses deux continents étaient nés. Pour que sa contrainte soit respecté, le Père, de ses jours heureux fit naître le plus puissant de tout les Êtres : Destin.
« Aucune chose existante ne pourra changer ce qu’il a écrit. Il dira et ce sera, il voudra et cela arrivera. Il est le tout et le rien, le mal et le bien, et par son esprit vous serez attachés car c’est à lui qu’est la gouverne d’Atya. »

Puis vînt le temps où tous se reposèrent, attendant que les premières graines germent. Le Créateur en admirant son œuvre avec les premiers enfants médita sur un nom.

« Cette terre s’appellera ?! »

Il se tourna vers l’un des ses enfants, son préféré disait-il souvent car c’est celui dont la timidité était la meilleur création et dont on attribuait l’origine des sentiments qui gênent. Le Créateur le préférait car il avait mis toutes les œuvres de ce fils (sentiments) dans une graine dont-il gardait encore le secret. L’Être s’exclama pour la première fois et le son qui s’extirpa de ses pensées fut Gaïa. Alors le Créateur dit :
« Je l’appelais ainsi : Gaïa »

Il ne fit pas de même pour chaque continent qui allait sortir de cette grosse masse (l’Eurasie). Il laisserait le soin à ces créatures de leurs donner un nom. Le Créateur et ses Êtres regardèrent comme d’une pièce de théâtre l’avenir du monde.

Les premiers enfant du Créateur ne purent s’empêcher d’admirer les plans de leur père : il avait tout prévu, l’évolution, les changements, le déplacement des terres, le climat, tout. Gaïa se divisa en six continents et la nature avait déjà apparu. Mais il est une graine dont les enfants ne connaissaient point le contenu. Le monde était là mais il ne pouvait se résoudre à attendre que cette graine veuille bien germer.Il demandèrent à leur père se qui s’y trouvait et le Créateur répondit simplement:

"Se sont mes deuxième enfants. »

Interrogés les Êtres rétorquèrent une question prévisible :
« Mais pourquoi ne sont-ils pas ici avec nous ? Nous sommes aussi tes enfants mes eux sont là-bas, en bas. »
Le Créateur répondit :

« Ils auront bien plus à accomplir ! »

Tous les continents de Gaïa se réveillèrent peu à peu comme chacun les avaient conçu mais il était un désordre sur Atya que le Créateur ne voulait pas que les hommes subissent.
« Je ne souhaite pas que ses enfants là rencontre votre monde »
Alors il voulu balayer le continent d’un geste, mais eu pitié du regard affranchi des ses Êtres qui n’avaient commit que pour seule faute d’avoir concrétisé ses désirs passés. Il décida d’effacer Atya des cartes et des esprits, et de la rendre à jamais invisible pour que la cruauté de ce temps ne touche jamais l’homme.

Les Êtres étaient chacun d’une partie du Créateur et ce dernier n’eu pas imaginer qu’il s’assemblèrent un jour (avant la création du monde) pour recréer sa plus grande œuvre : les humains. Ils l’avaient fait car des pensées de leur père s’étirait toujours une joie profonde lorsqu’il s’agissait de penser à cette graine et s’était celle qui était la plus coconnée par Scisaa.
Sans savoir quel en était le contenu les enfants du Créateur l’avaient plantés quelque part sur Atya et elle allait bientôt germer.
Quand cela fut le Créateur s’étonna de voir les hommes sur Atya mais il se souvînt que nul ne devait intervenir. Les deux scène de théâtre qu’ils avaient sous les yeux allaient leurs procurer un spectacle sans égale….




La plante céda sous les lourds coussinets du troll sans lui opposer la moindre résistance. Des millénaires d’évolution n’avaient su conférer à cette fougère, assez de solidité pour résister à de telles attaques. L’empreinte se dessina dans la terre boueuse à la façon d’un marteau qui tape le fer, la où les champignons et divers parasites proliféraient aisément. Enchaînés aux foules de lianes qui sévissent quelque soit l’endroit, les arbres trahis par la carrure du tronc affichaient une paisible existence sur trois générations. La lumière n’affluait pas en ces lieux où l’humidité traîne toujours sur chaque partie de la nature. Un épais manteau de végétation céda lui aussi le passage a cette créature, qui s’affirmait de plus en plus s’enrager à mesure qu’elle déboîtait la forêt.
La force du troll, son audace et sa férocité dépassait de loin celle des hommes. On dit qu’ils descendent de l’esprit d’Ituya, celui des Êtres qui imagina les carnivores. A l’origine, ils étaient les gardiens des forêts. Leurs membres plus longs et plus costauds que ce de l’espèce humaine leurs conféraient une force incroyable. Ituya les dota d’un sens aigu du combat et d’une grande agilité à se mouvoir. Après le premier exode des hommes vers les plaines du Néder, la où se trouvait la plus immense des forêts, les trolls s’étaient écartés la route humaine car il est vrai qu’autrefois le troll était la créature la plus pacifique. L’homme chassa cet animal si hideux mais pourtant si humble vers les abords des plateaux d’Innfalios, en forêt maudite. Lors du « second exode », le mal remporta la bataille face aux armées angelfiques et étendit son maléfice. Beaucoup de créatures furent influencées et la plupart devinrent démoniaque. Les trolls se mirent au service de Yavanns mais il est une chose qu’il ne savait pas. La prédiction du Destin faite à Ituya disait qu’un jour le mal remporterait une bataille, emportant avec lui sa première création qu’il adorait tant : les trolls. Pour que jamais ses enfants ne soient pervertis, il tatoua dans leurs chairs : « Quand le jour deviendra nuit, vous changerez, quand votre esprit deviendra sauvage, vous oublierez, quand le sang vous deviendra source de vie, alors vous partirez, dictés par ce qui ne peut vous être changer : votre instinct. Aucun carnivore ne peut-être apprivoisé, aucune de ses créatures ne peut être enchaînés tant bien spirituellement que physiquement. Jouissant de sa nouvelle force, Yavanns négligea cet esprit rebelle qui s’affirmait de jours en jours. Une nuit, tous les trolls quittèrent Innfalios divisé en trois groupes. Ceux qui voulaient retourner à leur racine et habité les forêts, ceux qui voulurent toucher le ciel et partirent vers les montagnes, et enfin les plus intelligents, ceux qui voulurent rejoindre les humains.

Citation :

Bon même si ça sert presqu'à rien, je vais quand-même poster ce que j'écris pour mon livre.

Non mais qui t'as dit cela!

Citation :

Il sagit d'une introduction du début et j'ai coupé exprès à une certaine partie pour qu'ensuite, si ça plaît, j'en montre plus. Je tiens à dire que c'est le premier jet et qu'il est très imparfait côté syntaxe donc j'éspère qu'au moins vous comprendez l'histoire. Sinon pour les questions n'hésitez pas.
Bonne lecture et n'hésitez pas pour la critique, c'est le meilleur moyen d'avancer (mis à part les fautes d'orthographe)....

Je sens Jetamio dans les envorons! Ce texte est quasiment parfait alors...

C'est moi qui ai mis le plus haut vote pourquoi pour trois raisons:

-D'abord pour le progrès comparé à la dernière fois que j'ai vu tes textes
-Le style est fluide, pas de haché pas de contrainte so fluently et on ne s'ennuie pas une seule seconde!
-Je reconnais les valeurs sûres alors tu te dépêches de mettre la suite avant que je ne te brûle par mp! Je blague! Bonne continuation!

Alors j'ai lu ton oeuvre.

Pour un début , c'est très attachant et comme disait Xigie , on a envie de connaitre la suite vite , très vite^^.

Ce n'est qu'un début mais il y a deux ou trois petites choses que je n'est pas comprit:

- Qui est Ituya?
- Armée angelfique? ils y a des anges ?
-Yavaans? c'est qui?

Voila , je n'est pas compris d'ou viennent ces personnages et leur role...
Sinon continue !!!

Nyd aime alors les choses sensuelles, qui éveillent les sens! C'est une bonne idée pour donner plus de vie à ton texte.

Tu préfères la paraphrase...Mum, c'est vrai que cela évite la confusion! Un livre superbe est aussi un livre qui absorbe ton âme, tes émotions, les remets à jour, les réveille et te fait vivre!

Je suis parfaitement d'accord avec toi! et quand on le referme, on a l'impression d'avoir vécu une sacrée aventure!

Désoler je l'ai pas encore lu Je le lirais ce soir et je te donnerais mon avis demain Enfin je suis pas franchement caler pour donner des conseil ou faire des critiques mais bon. ^^

Ne te rabaisse pas autant!

Oui, après tout, le Rp est une forme de littérature!
Bon, je vais essayer de lire la suite!

édit: j'ai lu

Alors pour la première partie, elle est un peu trop dans le style "biblique", je sais pas trop si ça ce sit, mais ça me rappelle trop ce style "Et la lumière fut...", mais bon.

La partie plus "narrative", enfin plus histoire, est mieux, là on a plus les sens, genre la fragilité de la fougère ou l'humidité de la forêt. Par contre je trouve que tu donnes trop de détails tout de suite, même si tu n'en as pas donné beaucoup...
Ensuite, il faudrait que tu écrives ton texte sur word avec le correcteur d'orthographe, ça serait plus sympa à lire... mais ça fait partie des petits trucs qu s'arrangent.
Le style est bon par contre, il manque pas beaucoup pour que ce soit génial je trouve!

Je trouve que ce texte est imaginatif, mais il manque quelque chose. Peut-être un petit peu plus de vie, de personnalité pour tes personnages. Aussi, pense à éviter les phrases trop longue et monotones, les répétitions et les évènements qui s'enchaînent parfois sans logique apparente pour le lecteur. Autre chose que j'ai remarqué: tu fais souvent parler le Créateur, et tu lui fais parfois dire des choses inutiles comme "Comment cette terre va-t-elle s'appeler?". Je pense que pour ce genre d'informations peu importantes, tu pourrais tout simplement abréger.

Par contre, les évènements importants s'enchaînent trop vite à mon goût, et ça fait trop d'informations à assimiler en peu de temps. Essaie de développer chaque partie pour qu'on aie le temps de s'habituer aux changements et vérifie ton post avant de l'envoyer, pour corriger les fautes d'orthographes que tu peux trouver. Enfin, pense à utiliser un vocabulaire plus varié pour éviter les répétitions à gogo. Voilà^^.

Sachant que ce n'est pas la version finale, j'ai fait pas mal de critiques pour que tu puisses plus améliorer ton texte par la suite. J'ai très envie de lire ta suite^^.

Je vous explique à tous. Le perso principale j'en parle pas tout de suite. En fait le troll attaquer son village. C'est vrai que je dis tout sans vraiment dire quelque chose. Moi quand j'écris je donne des éléments et j'en laisse d'autre que je livrerais plutard dans l'histoire pour garder le lecteur en haleine. Je dis des trucs et je fais express de les déballer ainsi pour que le lecteur s'interroge et cherche la suite.

Ityua est un Être qui est à l'origine des carnivores.
Il y a des anges.
Yavanns est le seigneur des démons (nom provisoir).

Ah ça fait très biblique mais je voulais pas utiliser le nom de Dieu, j'ai fait cela volontairement car je ne voulais pas porter atteinte à la religion. Tu n'a qu'a remplacer Scisaa par Dieu. L'histoire ce passe sur la terre (la notre) sauf que c'est dans un autre monde, je mélange fiction et réalité..

On dirait que tu es vexé par les critiques... Tu sais on dit ça pour t'aider à améliorer ton récit, tu n'as pas besoin de te justifier^^. Au fait, j'aime beaucoup la transition entre la création du monde et le présent. Je me représente bien la scène dans un de tes (futurs) films.

Moi je ne suis pas daccord j'aime beaucoup ce style "biblique" ou"prophétie" comme l'a dit Nyd. C'est ce qui fait le charme de ce texte. Par contre si il s'agit d'une introduction ce cotés prophéties a tout a fait sa place, mais si c'est le début de l'histoire c un peu bizarre. Mais le début véritablement de l'histoire commence bien à partir de l'orque nan?

Et une autre petite remarque=> tu as marquer vers la fin que les orques les plus intelligent se rallièrent aux humains. Je trouve cet adj un peu déplacé. Cela sous entends que les humains sont intelligent ou qu'ils sont le meilleurs parti à prendre. C'est assez paradoxal vu que tu nous a donné la preuve que les Etres étaient tout aussi intelligents si non plus alors c un peu en décalaga. On a aussi l'impression que tu donne ton propre avis ce qui ne colle pas avec le style du début.

Bon voila je fais beaucoup d'histoire pour un seul mot mais c'est ce qui ma le plus frappé.

Oui mais ça dépends du style qu'il veut donner, si il s'agit simplement d'un texte de divertissement ou si il est un peu plus poussée vers un aspect descriptif du monde ou va se dérouler l'histoire. Tout les récits fantastiques ne commence pas tout le temps par des notes humoristique. Mais sa ne veux pas dire qu'il n'y en aura pas par la suite.

[u_u']


Contentez-vous d'écrire. Le lecteur, ou tout le reste, n'a aucune importance. C'est que l'on dit qui compte.

N'importe quoi!!! Si tu ne fais pas attention au lecteur et à l'impression que tu lui donne, si tu ne donnes pas d'importance aux critiques faites sur ton écrit, tu ne progresses jamais! Quoi que tu écrives, sans le lecteur, qu'est-ce que ton histoire devient? Elle tombe tout simplement dans l'oubli, et ce que tu dis n'est jamais entendu.

Jetamio a raison car sans lecteur, un livre tombe dans l'oubli. Ou bien, c'est un plaisir égoiste...

De toutes les façons, si dès le départ le texte ne plaît pas à l'éditeur, il n'est jamais publié...

Voila le piège


Je me moque de publier ou non. L'écriture est unart, et un hobby. Je n'en fais pas une activitée lucrative.

Si je n'écrivais que ce qui doit plaire, alors cessons tout de suite ici. Personne n'a les mêmes lectures.

Ce que l'on lit, est moi. Sans fioritures. Et je ne suppportrais de devoir changer cela.

Si l'on aime ce que j'écris, j'en suis flatté. Sinon, je ne changeais pas.

Car ce que j'écris, je le fait non pour plaire, mais pour l'écrire. Et c'est en ne pensant qu'a " livre = éditeur = lecteur = argent. Si livre plait éditeur, plait a lecteur, je gagne argent. " que l'on produit un livre commun, tel que je puis trouver au furt du nord, ou à la fnac dans la catégoie best-sellers.


Je ne veux pas vendre. Je veux écrire. je peint, je joue de la musique, j'écrit... Mais ce sont ,outres des arts, des hobbys. Et le rôle d'un hobby est de s'y complaire, pas d'imiter.

Bon, comme on s'écarte un peu trop du sujet initial, tout le monde va se déplcer pour continuer le débat! Rendez-vous dans le post "Débat sur l'écriture". Je vous y attend^^.