C'était la nuit, il faisait noir et rrai, les nuages brouiller les étoiles, seule une faible lueure semblait persisté dans dans l'atmosphère. tous semblait calme, tros calme. Le monde semblait s'étre figé quand soudain, les nuages se rassemblaire en un seul point, décrivant petit a petit une spirale, des éclaires blanc fendait le ciel. ne saisant de progréser dans sa transformation, les nuage finir par formait un gigantesque trou dans le ciel...Un prodigieu vent souflé sur la terre, balaynat tous sur leur passages, les bourrasques finir part emporter dunes et sable...Soudain, une sorte d'éclaire blanc sortit du trou et s'écrasa sur terre...tout se calma, les nuages disparurent alors que le vent se dissipat.Bizzarment, le monde reprit son court normal. Au petit matin, trés tot, a l'heure ou les fleures des sables portent encore la rosée sur leurs petales, un homme reprit consience...Ouvrant doucement les yeux, il regardat autourd de lui aprés s'étre levé... Pitoyable, c'est le premier mot qui lui veint a l'esprit...Il ne savait pourquoi mais ils haisser cette endroit...Son regard perdu son reflet, des goutes coulèrent sur son front. L'homme était entré dans un état de transce. Durant ce moment, une partie de son passé lui reveint...L'orsqu'il rretrouvat son état normal, la silouahaite baissat la tete plogeant ainssi son visage dans l'ombre. Soudain la tèrre se mit a crier, provoquant un terriblement gronement quivit d'un tremblement de terre...plus le phénomène dura, plus la silouhaite s'envolat haut dans le ciel...C'e n'est pas avant ses 300 premier mètres que quelques blanche sortirent du sable, suivit par des muraille et des murs...lorsque le phénomène s'arettat, une grande tourd blanche avait prit la place d'une partit du désert...
Le visage toujours plogait dans l'ombre, on pouvait maintenant y voir une grande feinte reliant les deux extrémité de son visage...Lorsqu'elle touchat terre, la silouhaite se mit en marche vers sa forteresse...Blanche comme l'espoire, il s'arétat devant une grade porte qui marquait l'entré. certain apèlerons sa de la magie et dautr de la sorcèlerie, mais les portes souvrire toute seule sans un bruit...s'enfoncant dans sa batisse, la silouhaite disparue d'érrier les portes...